De l’ESDHEM au PGE : le parcours de Félix Chantraine

​​​Bonjour Félix, avant de parler de votre parcours académique, pouvez-vous nous introduire à votre alter ego, Stazzia ?

Stazzia, c'est mon nom de scène en tant que DJ. J'ai actuellement environ 12 000 écoutes mensuelles sur les plateformes de streaming, et certains de mes titres ont été écoutés plus de 300 000 fois. La musique électronique est une passion que je nourris parallèlement à mes études et qui m'aide à m'exprimer et à me connecter avec les autres. J'ai eu la chance d'intégrer l'association musicale Skip The Beat dès ma première année à l'ESDHEM et je suis aujourd'hui le président de cette dernière !

Félix, vous êtes issu de l'ESDHEM. Pouvez-vous revenir sur votre parcours ?

Avant de rejoindre le programme Grande École, j'ai suivi le programme ESDHEM de SKEMA, un cursus qui associe une licence universitaire en économie-gestion à une préparation aux concours des Grandes Écoles de commerce. Cela incluait des stages, un semestre à l'international, que j'ai effectué à Belo Horizonte et bien sûr, une participation active à la vie associative, ce qui a vraiment enrichi mon expérience.

Votre engagement envers l'humanitaire est notable. Quelle a été votre motivation pour vous impliquer à Cape Town, en Afrique du Sud ?

L'humanitaire est une partie essentielle de ce que je veux faire de ma vie. À Cape Town, avec UJAMAA Solidarity, j'ai travaillé de près avec les communautés défavorisées, surtout les sans-abris. Cette expérience m'a permis de contribuer positivement. C'était une petite structure, dans laquelle nous étions peu. J'ai donc pu faire beaucoup de choses.

Parlons de votre track en finance et quants à SKEMA. Qu'est-ce qui vous attire dans ce domaine ?

La finance et les méthodes quantitatives sont des outils puissants pour analyser et résoudre des problèmes complexes. Ce qui m'attire, c'est la capacité de ces outils à transformer et à influencer le monde économique. J'aspire à utiliser ces compétences pour faire une différence positive dans le secteur financier.

En tant que président de 'Skip the Beat', comment gérez-vous cette responsabilité tout en étant étudiant et DJ ?

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C'est un défi, certes, mais c'est aussi extrêmement gratifiant. 'Skip the Beat' me permet de fusionner mes compétences organisationnelles avec ma passion pour la musique. Cela implique beaucoup de planification et de gestion du temps, mais voir le succès de nos événements, comme notre festival open air, rend tout cela très gratifiant.

Votre passion pour le marathon semble jouer un grand rôle dans votre vie. Quelle importance cela a-t-il pour vous ?

Courir des marathons est pour moi une façon de me défier et de rester concentré sur des objectifs à long terme. C'est aussi une manière de rester connecté avec mon père, qui a réussi à m'attirer là-dedans ! Le marathon de Paris récent où j'ai accompagné ma copine était un moment très spécial, axé plus sur le soutien mutuel que sur la compétition personnelle. (Félix a terminé le marathon en 4h15, NDLR).

Quels sont vos projets futurs, Félix ?

Après mon année de césure, je compte plonger plus profondément dans le monde de la finance. Je souhaite également continuer à développer ma carrière de DJ sous le nom de Stazzia et maintenir mon engagement envers les causes humanitaires et sociales.

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