Mobilité
Ce projet vise à explorer de nouvelles pistes théoriques et empiriques pour l'étude de la mobilité des employés, de l'entrepreneuriat et du recrutement. Ce projet contribue à la littérature sur la gestion stratégique du capital humain lié à l'entrepreneuriat en étudiant les tenants et aboutissants d'expériences individuelles intra-firme, inter-firme et entrepreneuriales en termes de productivité de l'entreprise et de l'individu, de trajectoires salariales, de satisfaction au travail et de développement de carrière des employés. En outre, ce projet vise à offrir des recommandations managériales et politiques qui peuvent aider les décideurs politiques, les employeurs et les recruteurs potentiels, ainsi que les entrepreneurs à développer un entrepreneuriat de haute qualité et des carrières à fort impact. L'équipe développe ces projets en collaboration avec des institutions de premier plan, telles que Georgia Tech, London Business School, et Drexel University.
Évaluations sociales dans la stratégie, la technologie et les organisations
Ce projet vise à évaluer les tenants et aboutissants des évaluations sociales dans le contexte de la transformation numérique. Les chercheurs qui participent à ce projet visent à apporter plusieurs contributions, par exemple, (1) à l'évaluation sociale de l'esprit entrepreneurial (en particulier de l'échec entrepreneurial) ; (2) au contrôle du statut et aux réactions des organisations aux menaces de statut ; (3) aux évaluations en ligne dans des conditions d'anonymat. L'équipe développe ces projets en collaboration avec des institutions de premier plan, telles que l'Université de Boston, HEC Paris, l'Université de Tillburg et l'Université Ludwig Maximilian de Munich (LMU).
Dynamique relationnelle sur les lieux de travail modernes
Ce projet vise à étudier les mécanismes sociaux dans l'organisation et la manière dont ils façonnent les résultats à différents niveaux d'analyse (c'est-à-dire au niveau de l'individu, de l'équipe, du réseau et de l'entreprise), tels que la performance, l'innovation et la résilience organisationnelle. En outre, ce projet s'appuie sur de multiples disciplines et méthodes, telles que des méthodes qualitatives (par exemple, l'analyse du discours basée sur des entretiens), des méthodes quantitatives (par exemple, l'analyse des réseaux sociaux, tERGM) et des simulations (par exemple, des simulations basées sur des agents). L'équipe développe ces projets en collaboration avec des institutions de premier plan, telles que INSEAD, Erasmus School of Management, IESE et l'Université de Lugano.
Économie de la numérisation
Le projet étudie les effets économiques des technologies numériques dans de multiples contextes. Ces effets peuvent se faire sentir sur les entreprises (qui ont la possibilité de passer aux nouvelles technologies), les consommateurs (qui ont la possibilité de faire des achats en ligne), les scientifiques (qui ont un accès en ligne aux articles scientifiques), le grand public (qui a accès aux réseaux sociaux en ligne). Ce projet couvre ces quatre contextes. L'originalité de ce projet distribué réside dans l'application d'une méthodologie de pointe, notamment des données à haute granularité, mais aussi des expériences de terrain en ligne à grande échelle - quand cela est approprié. La série d'études issues du projet indique de multiples renversements de la pensée conventionnelle antérieure qui était basée sur des données plus rares. L'équipe développe ces projets en collaboration avec des institutions de premier plan, telles que l'université d'Osaka et le Dartmouth College.