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Les travaux en intelligence artificielle de Diane de Saint-Affrique
Professeur de droit à SKEMA, Diane de Saint-Affrique s’intéresse de près aux implications de l’intelligence artificielle dans la société civile. En 2021, elle a participé à la rédaction d’un livre blanc sur le sujet et signé un article sur le lien entre IA et médecine.
Diane de Saint-Affrique est professeur de droit à SKEMA et directrice du double diplôme contrat d'affaires (UPHF X SKEMA). Elle est membre du groupe éthique sur l'intelligence artificielle de la Cité de l'Intelligence artificielle des Hauts-de-France (initiative du MEDEF Lille Métropole).
Avec d'autres chercheurs, des collectivités et des entreprises, la juriste a fait paraître un livre blanc paru en 2021 sur l'intelligence artificielle, en lien avec les activités du groupe éthique. « L'objectif de ce groupe de réflexion est d'écrire des recommandations sur l'impact de l'IA et des règles éthiques dans le monde de l'entreprise. En parallèle, nous menons des réflexions sur la responsabilité homme/machine mais aussi sur l'impact régional et national de l'intelligence artificielle. Notre volonté est d'alerter, de faire réfléchir et de former », éclaire Diane de Saint-Affrique.
Un article sur le lien entre l'intelligence artificielle et la médecine
En 2021, Diane de Saint-Affrique a publié l'article : « Intelligence artificielle et médecine : quelles règles éthiques et juridiques pour une IA responsable ? » dans la revue Médecine et Droit du CNRS.
Dans cet article, l'enseignante s'intéresse aux nouveaux champs d'application de l'intelligence artificielle dans le domaine de la santé : médecine préventive, de précision, chirurgie assistée par ordinateur, etc. Dans ce travail de mise en perspective, elle pose, entre autres, la question de la légitimité et de l'acceptabilité des décisions des algorithmes.
