Talent Barometer 2024

Chameleon generation: young talent on the front lines of the generative AI era

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Did you know that :

8

out of 10 students say they are interested in Generative AI tools

64%

of students believe they will use AI in their first job

59%

would be interested in a job requiring the use of Generative AI

A SKEMA Business School x EY study, conducted in collaboration with Opinionway.

 

Generation Z, balanced young talent?

Generation Z, often perceived as elusive, represents a dynamic force with constantly evolving aspirations and behaviours. This generation demonstrates remarkable adaptability in the face of an uncertain future, while actively seeking meaning in their personal and professional lives. Young people in this generation embrace new technologies, particularly AI and Generative AI, and are helping to shape their use in the professional world. They are also engaged in societal issues such as inclusion, diversity and corporate responsibility, while remaining true to their convictions. Seeking a balance between concerns and opportunities, this generation offers a fascinating glimpse of the future in transition. It is crucial to keep an eye on these younger generations, as they have a lot to teach us about the world to come.

In partnership with EY, SKEMA Business School once again wanted to find out about the expectations of young talent. For this 2nd edition of the Talent Barometer, we conducted a​ survey of a panel of more than 1,100 students, currently studying at SKEMA and other universities, in order to gain a better understanding of their aspirations and requirements with regard to their future employer, and in particular their relationship with Generative Artificial Intelligence.

The highlights of this study will certainly require real attention from companies.

 

Read the Talent Barometer 2024

[Musique]
cette année on a peut-être cherché à à étendre la consultation un petit peu par rapport à
l'an dernier toujours avec une une prédominance des étudiants de schemma qui est importante parce qu'il y a aussi la volonté de suivre une typologie
d'étudiant qui soit la même mais on l'a élargi à à d'autres jeunes l'idée étant d'essayer d'universaliser euh les
résultats pour voir à quel point est-ce qu'il y a d'abord des différences entre les é schemma et les autres et puis également de de se faire une idée de
quelle peut être la perception de une population plus vaste et c'est dans cette logique là qu'on cherche à à
construire et inscrire dans le temps ce baromètre c'est ce qu'on s'était dit l'an dernier en clôture du baromètre
précédent tout à fait Patrick et si je peux juste ajouter un point intéressant en terme de gender et en terme de de
comparaison homme-femme on est sur une sur un pourcentage de 60 % de de
répondant femmes versus 40 % homes fait pense que le deuxième avant
qu'on aille dans les détails le deuxième élément qu'on a souhaité faire cette année c'est qu'on voit on a parlé d'IA mais en fait on a
voulu parler de Gen donc d'intelligence générative on voit quand même une dans
les révolutions qu'on connaît la révolution Internet la révolution iPhone et puis la troisème c'est la révolution intelligence artificielle générative euh
alors je sais pas s'il faut parler de révolution c'est pas le débat du jour ce qui est certain c'est que on a avec cet
aspect de d'intion d'intelligence générative un élément qui est nouveau dans le paysage qui est nouveau non pas
pour l'AG en tant que tel mais par l'ampleur et la puissance des algorithmes euh ainsi que les bases de
données qui sont disponibles pour les piocher dedans et donc on est on sait qu'on dans une nouvelle ère on sait que
mécaniquement quand un nouveau sujet arrive de ce type-là on a tendance à maximiser ses effets à court terme et à
minimiser ses effets à long terme et ça c'est à peu près systématique sur chaque disruption euh on s'est dit qu'il était
intéressant qu'on interroge les étudiantes et les étudiants afin de percevoir leurs attentes leurs vision et
leurs craintes éventuelles autour de ce sujet et donc c'est le l'accent qu'on a mis sur cette sur ce baromètre cette
année sachant qu'on avait regardé il y avait aucun baromètre qui s'était posé cette question question là de cette manière là et on reprendra donc dans
cette première partie les aspects sur et puis dans une deuxième partie on a cherché à suivre les indicateurs qu'on avait mis en place l'an dernier pour
voir comment est-ce qu'il évolu dans le temps l'enseignement alors qui est une
demiurprise au fond c'est qu'il y a 80 % des jeunes qui se disent intéressés par les outils di
génératif bon ben ça c'est c'est formidable on s'attendait à avoir ce type de réponse là on se rend compte
malgré tout et ça c'est plus étonnant qu'il y a 20 % des jeunes qui sont désolidarisent dans les points
d'étonnement on a repris vous allez le voir tout au long de l'étude non par conviction mais par nécessité les
aspects de genre et les aspects de nationalité par conviction avec Amine le genre et la nationalité sont des
éléments dont on cherche à rester assez distant en revanche par nécessité on se
rend compte qu'on peut pas expliquer les résultats si on va pas creuser parfois un peu plus loin et et c'est un un
relief additionnel qui ressort de Cees baromètres quand on le fait on observe qu'il y a quand même une
prédominance d'étudiants internationaux qui sont très intéressés par l'intelligence artificielle générative et c'était bien génératif dans la
question pas que l' là où on se retrouve avec une moyenne qui est beaucoup plus faible au globale c'est une moyenne
d'étudiants français beaucoup plus faible et des étudiants schema qui sontessus de la moyenne française à 39 % et puis on voit aussi une prédominance
masculine dans les gens qui se monent très intéressés par le phénomène gen contrario vous le retrouvez à droite
euh les femmes semblent euh prop personnellement quand on les interroge
euh disent qu'elles le sont moins faut toujours prendre ces résultats avec beaucoup beaucoup de
recul donc ça c'était un petit peu ce qu'on s'attendait à trouver néanmoins c'est c'est à la fois rassurant pour les
80 % et et ça interpelle ça interpelle pour les 20 % on va voir ensuite qu'il y
a quand même une certaine maturité dans dans les
réponses pas si tu veux je peux enchaîner sur le deuxième aspect qui est
l'aspect sur sur quels sont les éléments qui les intéressent bah il y a évidemment tout ce qui est traitement du
langage on n'a pas appris toutes les questions hein mais vous avez avez-vous déjà entendu par des technologies diagénératif suivante en fait on en a
mis plusieurs vous avez mis les deux résultats principaux qui sont les plus parlants et au fond on voit qu'il y a
une une accoutumance sans surprise notamment à à chat GPT alors la question portait sur plusieurs outils on sait que
c'est chat GPT qui remporte au la main le le sujet mais d'autres également sur les traitements de l'image qui demande
un peu plus de savoir-faire en matière de capacité à prompté qui sont pas nouveaux hein puisque toutes les agences
de publicité aujourd'hui les utilisent abondamment ainsi que d'autres euh on voit qu'il y a il y a moins de je il y a
moins de résultats il a moins de sensibilité il y a moins d'utilisation mais il y a quand même et c'est
important 10 % des étudiants des étudiants qui régulièrement utilisent des outils d'intelligence artif
générative relative au traitement de l'image et 36 % si on cumule les deux donc il y a en fait une génération comme
on l'a écrit dans dans l'étude qui est consentiellement est agile en matière
digitale un problème à s'approprier tous ces éléments là amine je te laisse
élaborer peut-être sur cet aspect là un point sur le l'utilisation de chat GPT
de bar de Bing chat maintenant de Microsoft Copilot et
cetera ça commence à on le voit dans les salles de cours et de plus en plus ça
commence à devenir naturel pour nos apprenants de se faire assister dans les
différentes étapes de l'apprentissage he que ce soit pour de la recherche d'information la génération de texte la
préparation de leur PowerPoint et de leur présentation le travail d'équipe l'idéation la génération d'idées le
brainstorming c'est devenu un outil quasiment incontournable euh je ne suis
même plus surpris maintenant de de voir la plupart de mes participants en salle de cours et notamment ceux qui sentent
en dernières années d'école de commerce soit en master spécialisé ou en M2 ou en
Master of Science qui l'utilise et on le verra dans les résultats plus tard qui
anticipent aussi sur leur arrivée sur le lieu de travail et notamment leurs attentes par rapport à leurs employeurs
dans sur des notions d'accompagnement de formation d'utilisation de de ces outils
trois indicateurs pour vous qui viennent compléter et illustrer ce que dit amine à l'instant 72 % l'ont utilisé dans le
cadre de leurs études 66 % dans le cadre de leur vie personnelle donc un premier sujet hein c'est que plus dans le cadre
des études que de la vie personnelle et 41 % dans le cadre d'une expérience professionnelle je pense sont des
chiffres importants et qui doivent aussi nous interpeller sur la capacité qu'on a à s'assurer nous organisation
professionnelle que les étudiants lorsqu'ils arrivent en tout cas pour les 41 % ne se disent pas tien je suis rentré dans une société où on l'utilise
pas qu'est-ce qui se passe si je peux me permettre Patrick une un commentaire sur
ça c'est un point très important que tu soulignes ici quand on parle à nos alternants qui passent énormément de
temps en entreprise euh il y a trois types de réponses il y a des alternants qui nous disent bah dans ma boîte on a
une charte un cadre de l'utilisation de l'IA génératif mais c'est une minorité
la plupart nous disent il n'y a pas de cadre pour l'utilisation de li génératif
on ne sait pas si on peut l'utiliser ou pas c'est laisser à la liberté de de
chacun et il y a aussi une petite minorité d'entreprise qui a dit non niet nous n'utiliserons pas li à générative
et c'est très restreint réglementé en interne pour ne pas donner
accès à ces outilslà parce que il y a des risques d'hallucination mais aussi des risques qui sont liés à l'intégrité
des données et et cetera mais c'est très intéressant de voir que en entreprise autant on dit que nos
étudiants l'utilise en salle de cours et cetera et comme le dit très justement Patrick je ne sais pas si nous sommes
tous prêts à accueillir des jeunes diplômés des jeunes talents qui eux
utilisent l'IA et qui l'intègrent au quotidien dans leur fonctionnement effectivement on a en matière de gestion
de risque en entreprise beaucoup d'entreprises qui s'inquiètent de voir leurs informations mise sur la toile euh
donc il y a le lien de causalité que évoqué on reviendra dessus mais il y a aussi la la capacité à garder les informations sensibles secrètes avec des
des natifs digitaux on va dire qui sont parfois euh très enclins au partage donc je confirme que on a un certain nombre
de clients euh qui ont mis les choses en pause ou qui cherchent à les à les
réglementer et puis il y a un certain nombre de sociétés qui ont internalisé via des partenariats les protocoles de
d'intelligence artificielle c'est ce qu'on a fait chez y notamment en investissant pour ne pas avoir à mettre nos données en dehors de nos
cerveaux opportunité ou menace je pense que là il y a globalement de deux blocs qui se qui
se dégagent il y a un premier bloc en haut qui est celui relatif au développement économique aux entreprises
et à l'avenir professionnel on voit bien que c'est perçu comme une opportunité de manière
assez large au fond euh et c'est assez flagrant c'est également le cas pour
l'apprentissage et le développement des des compétences alors c'est intéressant parce que je pense qu'il y avait déjà beaucoup de choses sur Internet euh et
ça cette 4e ligne à mon sens pose la question de la la capacité à avoir du recul sur les
bis cognitifs parce que est-ce qu'il vaut mieux aller chercher sur internet sur Wikipédia ou poser la question à
chat GPT c'est une question véritable euh et puis il y a un deuxième bloc qui bloc du bas et le bloc du bas ce qui est
intéressant c'est que sur certains métiers sur l'humanité sur le marché de l'emploi on est beaucoup plus dans
l'équilibre je dirais et donc c'est c'est c'est de la prudence ou
de la confiance prudente au fond j'ai l'impression mais je laisse notre professeur amine
répondre mais j'ai l'impression que il y a pas vraiment de tendance qui se dégage sinon une forme de polarisation qui
commence à naître complètement d'accord avec toi Patrick on a beaucoup commenté ce ce résultat là
en particulier notamment comment est-ce que les jeunes perçoivent
lia pour les entreprises comme une opportunité et comment est-ce qu'il perçoivent l'a générative comme une
menace ou une opportunité pour le marché de de l'emploi et ns nos jeunes talents
ne sont pas naïfs autant il voient le potentiel d'automatisation de productivité
d'efficacité et d'efficience en en fonction des cas d'usage autant ils commencent ils sont pas naïfs ils
commencent à percevoir les risques aussi que l' générative peut avoir sur leur
capacité à soit être prêt pour un emploi
donné est-ce qu'ils ont les bonnes compétences et ça c'est une question qui va ressortir dans la diapo suivante et
aussi une crainte qui est véhiculée dans les médias et un peu partout c'est la méchantilla qui va venir remplacer les
êtres humains dans plusieurs activités plusieurs jobs et cetera et donc voilà
ce paradoxe là où en tout cas cette opposition là on peut la comprendre autant les étudiants et il le voi avec
nous en cours il y a d'énormes opportunités pour l'utilisation de l'IA pour les organisations pour les
entreprises en général et il y a aussi quelques limites qui concernent
notamment leur employabilité et surtout la perception qu'ils ont eux-mêmes de leurs compétences et et on va le voir
dans la diapo suivante sans spoiler de deux éléments pardon sur lequel on peut
s'arrêter malgré tout le premier c'est on voit bien 50 % des femmes considère que c'est une menace pour l'humanité 40
% des hommes et puis la distinction sur des étudiants qui sont bien préparés on y reviendra ensuite entre leur avenir
professionnel et le marché de l'emploi qui est intéressante puis il se considèrent quand même beaucoup plus
protégé que que d'autres pe aller à la slide suivante et
là ce qui est ce qui est dans cette slide je pense c'est c'est toute la partie euh détaillée sur les avantages
et les limites euh on retrouve en fait le côté efficacité et la nécessité de
réglementer ce qui à titre personnel m'a beaucoup rassurer c'est les 81 % qui
considèrent que ça peut être une source d'erreur ce qui est peut-être inquiétant c'est les 15 % qui considèrent que ça
peut pas être une source d'erreur alors est-ce que c'est plus ou moins une source d'erreur vous savez il y a ce protocole on a fait passer le euh des
tests protocole d'intelligence artificielle et on n pas repris cette slide mais quand on regarde la dernière
génération d'intelligence artificielle a des résultats incomparablement supérieur à la moyenne des étudiants sur
l'ensemble des tests désormais et non plus que dans certaines matières et en progression considérable par rapport à
la génération précédente donc il un apprentis une forme d'apprentissage par renforcement même si on peut pas l'exprimer comme ceci pour
l'intelligence artificielle ça n valable que pour l'intelligence artificielle classique pour la génér c'est moins valable mais on a quand même cette
tendance là euh donc sur le bloc du haut d'abord je pense des éléments qui
ressortent qui sont très forts et puis ensuite on voit qu'il y a
plus bas des enjeux autour de la créativité de la perte de compéten et et là c'est beaucoup plus rassurant une
prise de conscience assez forte d'une partie en tout cas de 50 % sur les visions les stéréotypes et les
inégalités mais de la même manière on s'étonne que 51 % enfin 50 % des personnes quasiment 49 nai pas pris
chance que aujourd'hui on sait pas établir de lien de causalité quand on parle d' d'intelligence artificielle
générative et donc qu'on a nécessairement des biiss cognitifs qui se créent ces bis cognitifs sont en plus
susceptibles de se renforcer au fur à mesure qu'on va utiliser l'intelligence
générative amine je te laisse peut-être développer sur ces aspects un un
commentaire très très rapide pour pour qu'on puisse passer à à à la suite comme
Patrick c'est très rassurant de voir les 81 % euh qui disent voilà li peut être
source d'erreur on travaill énormément avec les étudiants sur les promts sur
les instructions et euh on n pas encore fait d'études poussées sur la question
mais moi je pense fondamentalement que plus on va laisser la possibilité à ces apprenants d'utiliser d'avoir accès à
ces outils de les pratiquer avec différents cas d'usage plus ils se rendront compte au fur et à mesure des
capacités des challenges des limites aussi et euh on va tout de suite commencer à prendre et à faire sens de
l'utilisation de l'IA parce qu' encore une fois l'IA générative ne va pas résoudre tous les besoins en entreprise
n'est pas la solution à tous les problèmes elle va apporter certaines solutions avec certaines Marg d'erreur
pour certains cas d'usage et au fur et à mesure où on va travailler avec les étudiants les apprenants et aussi en entreprise sur ces cas d'usage mieux on
apportera si vous voulez du du sens et crérant aussi des des connaissances
poussées et j'espère qu'on avancera vers du 90 % 95 % pour les prochaines
itérations de ce de ce baromètre donc apprendre à se servir de l'IA et apprendre quelles sont les limites de
l'IA au fond sont les deux mission alors ce qui est intéressant d'abord c'est on
s'est interrogé sur le leur perception dans leur travail et comme je le disais tout à l'heure 41 % donc déjà utilisé en
milieu professionnel mais en fait qui sont 64 % à conser qu'il vont l'utiliser dès leur premier emploi donc c'est une
proportion intéressante là encore on a un aspect intéressant 72 %
des hommes et 71 % des étudiants SKEMA sachant que dans la population d'étudiants non skéma qu'on a interrogé
on sait qu'il y avait des étudiants qui étaient potentiellement un peu plus jeunes et donc qui étaient plus en devenir donc qui peut-être pas encore pris complètement conscience du
sujet et le deuxième élément qui est intéressant et qui est un sujet d'attractivité c'est
c'est les posts qui demandent de savoir utiliser l'intelligence artificielle générative euh où il y a près finalement
de 60 % des étudiants il disent que il seraiit intéressé et donc ça peut être
aussi un élément de de positionnement en matière de marque
employeur la question qui vient juste après c'est de savoir comment se
former et comment se former au fond euh on était assez surpris parce qu'on
s'attendait plutôt à une polarisation qui fasse une forte place à l'employeur
en terme de formation plutôt que aux écoles aux formations universitaires voir à eux-mêmes parce
que en fait ils sont mieux placés que nous-mêmes et beaucoup plus agile généralement que leurs aînés pour aller
vers ces outils là et on a été étonné de voir qu'il y a 76 % des étudiants donc
86 % des étudiants français et là c'est c'est vraiment important 10 points d'écart qui disent c'est à l'école de
nous former c'est à l'université de nous former sachant qu'il y a 35 % qui estime
ne pas avoir les compétences et donc ce qui est intéressant c'est qu'il y a 65 % des personnes qui pensent à les compétences dont on sait objectivement
qu'elles n'ont pas été formées dans le détail à l'utilisation de ces outils et qui considère en moins que à hauteur de
76 % c'est l'école et la formation qui doit les conduire à savoir utiliser ses outils et à bien
Prompter et puis ensuite les autres résultats parlent de même mais on voit aussi qu'il
y a beaucoup plus de proactivité chez les étudi internationaux et je pense que
ça c'est un c'est un élément très important euh on
a un enjeu de bascule technologique en France qui est très très fort et de prise de conscience par les
entrepreneurs et par également tous les acteurs des enjeux de cette intelligence
générative on se rend compte qu'il y a peut-être un peu petit retard en France dans la perception et la capacité de l'avance sur ces
sujetsl par rapport au reste du monde en tout cas et si je peux rebondir Patrick
tu as complètement raison parce que on a maintenant accès à des études scientifiques dans plusieurs pays dans
plusieurs zones du monde qui nous montre l'impact de l'intelligence artificielle générative sur notamment les les jeunes
talents sur notamment le l'enseignement supérieur eu et c'est euh ces études là
elles nous montrent de façon constante que les étudiants sont conscients des
desavantages des inconvénients des challenges il voi que ça peut leur permettre de personnaliser leur
apprentissage donc ils ont envie de donborder il voi aussi que ça peut les aider dans la rédaction dans le
brainstorming et surtout il commence alors c'est rigolo on l'a vu un petit
peu au début et ce que Patrick disait était très vrai on se demandait si chat
GPT n'allait pas remplacer Google et notamment Wikipédia à un certain moment parce que la plupart de nos étudiants au
départ commençaient à l'utiliser comme un moteur de recherche dès qu'il y avait un concept ou une question une donnée
particulière ils allaient la chercher sur Chat GPT mais ça a évolué en moins de 6 mois moins de 9 mois on a vu
l'évolution c'est devenu un outil qui va assister les les apprenants dans dans leur apprentissage notamment dans leur
différents travaux d'équipe de rédaction et cetera il faut aussi souligner pour
donner un petit peu de de profondeur à à cette analyse que à schema nous n'avons
pas interdit le l'utilisation de li générative au contraire dès le départ on a encouragé son utilisation en posant
bien sûr un cadre une charte éthique pour son utilisation mais dès le départ notre positionnement a été de dire non
allez-y foncz tester utilisezla et cetera et on a enbordé aussi notre faculté nos enseignant c'est un vrai
challenge pour l'enseignement supérieur que voilà de de s'adapter et de réussir
russè à adapter aussi lia dans nos cas d'usage pour que ce soit un bon assistant que ça apporte de l'aide dans
la pédagogie dans l'animation dans l'assessement dans l'évaluation c'est aussi une question fondamentale vous
vous rappelez peut-être de des politique de certaines écoles certaines universités qui ont interdit
l'utilisation de chat GPT parce que ça a aidé les les apprenants dans leur devoir
mais mais tout de suite on est revenu voilà à à une espèce de démocratisation de son utilisation et on a compris qu'il
fallait mettre un cadre plutôt que que de l'interdire voilà juste pour conclusion des études faites à l'échelle
mondiale maintenant commence à nous montrer et de façon constante l'intérêt des étudiants notamment dans
l'enseignement supérieur pour acquérir des compétences qui sont spécifiques àié générativ parce qu'ils en ont besoin
dans leur cursus d'apprentissage mais ils en ont aussi et c'est comme ça qu'il le voient ils en auront aussi besoin
quand ils arriveront chez leurs employeurs dernier derier point peut-être pour conclure cette session
sur l' et c'est qu'on les a également interrogé et on n' pas fait de slide
spécifique sur la manière dont il pensait user de l'IA et ce qu' en ressort et ce qui est intéressant c'est qu'il pense beaucoup l'utiliser pour
réaliser des tâches répétitives analyser des données massive et là où on a eu un
doute au fond c'est c'est de savoir si les si les étudiants faisaient bien la distinction entre intelligence
artificielle générative entre intelligence artificielle et robotique process automation tout ce qui
est robotisation et effectivement au fond quand on fait cette étude je pense la dernière limite c'est que euh la
différence entre I et y génératif tout le monde ne l'a pas nécessairement en tête et et on voit dans le fait queil y
ait quand même 88 % des étudiants qui considèent que li générative va les aider à réaliser des
tâches répétitives en fait c'est pas li générative en tant que tel qui va les aider à faire ça et paradoxalement quand
ils disent à 75 % que ça va les aider à réduer des notes des synthèses et des contte-rendus là ils sont ils sont dans
le vrai même si 75 % ça semblait beaucoup complètement d'accord avec toi Patrick on a un énorme boulot à faire
pour réexpliquer que l' génératif fait partie d'une voilà c'est une catégorie
parmi d'autres types d' qui qui existe et je suis complètement d'accord avec toi le le travail qu'on a en
enseignement supérieur mais aussi en entreprise pour former à accompagner euh il y a une réelle attente moi si je veux
conclure ce cette partie-là et notamment sur la partie RH il y a une réelle attente de nos jeunes talents par
rapport à leur accompagnement sur l'acquisition de ces connaissances là et de ces compétencesl parce que encore une
fois leur inquiétude sur le marché du travail elle vient principalement de la
perception qu'ils ont de leurs propres compétenence ils ont peur de ne pas avoir suffisamment de compéten en ni
générative pour pouvoir être productif en en entreprise encore une fois c'est
c'est ça met énormément de pression sur sur des des gens qui qui suivent notre
webinaire et notamment les responsables de de formation et il va falloir accompagner et et former aller sur Chat
GPT faire quelques promt ou aller c'est c'est rigolo mais la deuxième plateforme qui est la plus voilà consulter c'est
caractur.ei vous savez c'est les petits les petits chatbot qui permettent de euh
voilà de communiquer de parler avec Elon Musk avec Victor Hugo avec Taylor Swift
et cetera et qui sont basé également sur lia générative et c'est la deuxième plateforme qui vient juste après Opena
et chat GPT et c'est pour vous dire l'utilisation qui est faite de de ces outilslà et c'est pas comme ça qu'on va
se former donc voilà on sait pas si plébiscite plus Victor Hugo ouou Taylor Swift mais on a une petite
idée euh le deuxième volet c'était c'était vraiment la la perception des jeunes sur le leur projection leur
premier emploi et et et la durée dans le premier emploi qui élément important et
pourquoi est-ce qu'on s'est interrogé aussi sur ces aspects là c'est parce qu'on entend beaucoup euh beaucoup beaucoup laangen disant ah oui mais les
jeunes c'est pas pareil qu'avant alors on a on a eu le plaisir de voir que terraanova avait sorti une
étude dans le même moment qu'on va pas commenter ici mais qui bien évidemment doit tous nous interpeller en matière
d'idée reçues les jeunes se projettent euh 1 à 2 ans sur leur premier emploi
pour 43 % d'entre eux mais ça je veux dire c'était assez attendu en fait mais il y a 45 % des
jeunes qui se projettent de 3 à 5 ans dans leur premier emploi et en fait on
avait l'an dernier mis l'accent sur les éléments de rétention ou les facteurs de départ on va revenir un peu ensuite mais
je crois que cette cette première Slide est importante il y a même 7 % des jeunes qui se projettent à plus de 5 ans
ce qui veut dire que le choix de la première entreprise est absolument critique et ce qui veut dire qu'il y a
quand même plus d'un étudiant ou d'une étudiante sur deux qui se projette à plus 3 ans sans
difficulté effectivement je je suis complètement d'accord avec toi Patrick
on a beaucoup de stéréotypes sur la Geny et sur notamment les des slatcheurs des
appeurs ils sont pas fidèles aux entreprises et cetera là on voit il y a un énorme boulevard l'idée et le
challenge c'est est-ce qu'on va réussir à les fidéliser est-ce qu'on met en place les actions pour les fidéliser on
aura des des éléments de réponse dans les diap à à venir du coup comment est-ce qu'on les fidélise c'était
effectivement toute la question et là on vous met les on vous met les tops on pas tout le détail parce que ça serait trop
fastidieux mais objectivement ce qui est très intéressant qui sera encore plus intéressant sur la dernière partie c'est
que perspectives de progression salariale ne sont absolument pas négligeables 49 % en moyenne 57 % pour
les étudiants schema qui bien évidemment sont plus compétents donc il ont plus de attention et 61 % pour les étudiants
internationaux et ça c'est aussi un élément très fort hein c'est c'est cette sensibilité euh le deuxième point
ensuite mais qui est quand même très décranté c'est la partie équilibre vie pro vie perso euh et puis après on a des
facteurs qui nous surprennent pas qui sont l'ambiance de travail les projets variés et et les perspectives
d'évolution et si je puux me permettre Patrick je te laisse commenter sur les éléments de rupture et je ferai une
synthèse parce que ça se rejoint c'est c'était l'idée mais effectivement sur les éléments de rupture euh alors ce qui
est intéressant par rapport à la réponse présente c'est que c'est pas la rémunération qui est le premier facteur de rupture c'est l'ambiance et ça ça
raisonne parfaitement avec ce qu'on avait déjà identifié l'an dernier avec des jeunes qui voulaient une société
apprenante des managers bienveillants une ambiance saine de collègues et et on
l'avait mis au regard l'an dernier euh avec la le présentiel on avait d'ailleurs été aussi
surpris des résultats et on voit qu'il y a beaucoup de qu quitting hein dans les
entreprises mais je pense que cet aspect ambiance est extrêmement important et il
y a sans doute c'est difficile on a pas la dynamique donc là c'est plus intuitif mais je pense qu'il y a sans doute moins
de tolérance à un certain nombre de comportements qui pourrait être perçu
comme des enjeux de la part des étudiantes et des étudiants
Patrick tu as parfaitement raison je je fais déjà un spoiler par rapport à ce qu'on va voir par la suite sur la notion
de sens au travail je je le rappelle on on parle beaucoup de
d'individualisme et de montter de l'individualisme dans les entreprises dans la société en général c'est
peut-être pas de faux mais ce que les recherches scientifiques nous montrent et de façon constante c'est que les
employés de façon générale sans prendre en compte un un âge particulier ou une génération particulière sont très
attachés à leur équipe autant ils peuvent se distancer un petit peu de ce
que fait l'organisation autant ce qui se passe au sein de leur équipe en terme de valeur de comportement d'attitude et
cetera est très très important et c'est pour ça que on n'est pas surpris quand on voit l'ambiance au travail est-ce que
ça véhicule derrière en terme de socialisation de contact de relations sociales de collaboration d'échange
d'information de progression aussi de monter en en connaissance en compéten c'est un point qui reste très très
important moi je voulais conclure sur cette thématique là en parlant de l'évolution de la notion de fidélité euh
et c'est un travail qu'on a fait en en sciences de gestion depuis très longtemps et d'ailleurs les les études
encore en 2010 2018 2020 même 2022 en France sur la notion de fidélisation des
jeunes talents euh on a nos collègues elodiantina et d'autres chercheuses qui ont travaillé cette sur cette question
et qui ont pris comme caditude Decathlon et elles nous disent de façon claire la notion de fidélisation a évolué parce
que la fidélité elle-même et comment elle est perçue par les jeunes talents a évolué en s'attend à une fidélité
émotionnelle à une fidélité sociale à une fidélité éthique et cetera il n'y a pas qu'un seul critère qui définit
maintenant la fidélité il y en a plusieurs ça devient multimodal et encore une fois ça rejoint un peu les
commentaire qu'on a eu l'année dernière sur le baromètre c'est pas l'ambiance du travail qui va faire que on va retenir
les talents tout seul c'est pas la rémunération qui va faire qu'on va les retenir ou qu's vont partir c'est le
package encore une fois et ça met l'accent sur l'importance d'avoir toutes ces modalités présentes et notamment au
niveau du du management qui est en frontline les responsables qui gèent les équipes au quotidien et ce message
s'adresse particulièrement à eux voilà je sais que c'est pas facile mais c'est surtout à ces à ces managers qui ont une
tâche très très difficile plus ou moins tout repose sur eux il faut les accompagner euh il faut les les aider
parce que tout seul ils ne vont pas réussir à créer tous ces environnements là avec toutes les variables pour pour
tenir les tal deux éléments pour conclure on les a interrogé dans les
réponses qui nous ont étonné 7 % considèrent que ce qu'il les fris rester plus longtemps c'est la possibilité de
se former aux enjeux de transition énergétique ou de développement durable et 7 % sur la possibilité de se former
aux nouvelles technologies donc en fait ce qui est intéressant c'est que là on a mis les les les réponses
euh il y avait trois réponses possibles hein et donc parce qu'on a cherché aussi à polariser ces réponses par rapport aux
enjeux et et donc il est important de retenir que la mauvaise ambiance de travail c'est vraiment vraiment vraiment
un facteur extrêmement extrêmement fort donc en fait il partent à cause de euh
ces ambiances ils partent pas du tout parce que il y a eu un petit manquement sur tel ou tel élément et je crois que
ça doit nous interpeller comme tu disais sur nos idées reçues et la manière de
d'agir sur d'autres études de Patrick ce qui ressort c'est les deux éléments clés
bonne relation avec les collègues bonnes relation avec le manager très clairement enfin ça sort gros comme une maison
bonne relation avec le manager bonne relation avec les collègues pour interpréter un petit peu ce qu'on entend par ambiance au
travail deuxième élément c'était le contexte économique et là on attendait aussi beaucoup parce que évidemment
contexte inflationniste fort 22,5 % sur les biens alimentaires de mémoire on se
dit que les étudiants sera assez touché ce qu'il en ressort au fond c'est
d'abord une interrogation autour des valeurs et en fait on a pour faire cours
on a perdu 10 points autour des valeurs c'est que les valeurs restent extrêmement importantes parce qu'elles sont importante très importante tout ça
évolue mais je pense que le message fondamental c'est qu'on a perdu globalement 10 points enfin 11 points
même autour des valeurs alors 11 points c'est à la fois beaucoup et très peu c'est que c'est beaucoup dans l'absolu
de perd 11 points autour des valeurs c'est très peu parce que 22,5 % d'inflation sur l'alimentaire ça frappe
les étudiants quand même assez fortement donc même si on a affaire nécessairement à des populations d'étudiants qui visent
des études supérieures donc ils sont sans doute avec une représentativité de l'enfant
CSP+ sur pondéré je trouve que c'est ce qui est important c'est pas de voir qu'il a
moins point c'est voir qu'il y a toujours une importance forte sur l'aspect valeur d'entreprise et raison
d'être maintenant on a la deuxième élément
c'est-à-dire qu'est-ce qui est important euh et qu'est-ce qu'un travail qui a du
sens et là-dessus on a les éléments qui disent que c'est d'abord de se sentir motivé par il y a le bloc du ha he les
missions les tâches de bien gagner sa vie de s'épanouir professionnellement je veux pas direire
toute la slide vous la lisez comme moi et on a les 38 % sur l'accord avec les convictions et et les valeurs mais on
peut mettre quand même ce 38 % on regarde les 52 % aussi de motivation et stimulation par les missions et les
tâches on a donc cette baisse qui que moi je juge en fait qui était attendu
mais que je juge pas être excessive par rapport au contexte
économique je te laisse éventuellement commenter sur tout à fait d'accord avec toi Patrick on en a parlé à plusieurs
reprises moi je je ne vois pas de déflation des valeur elle reste les dimensions
éthiques restent très présentes sur les attentes des des jeunes talents on va le voir dans dans les diapos à à venir et
encore une fois moi j'insiste sur cette voilà ce paradoxe
entre la notion de l'individu la notion du groupe et la notion de de l'organisation encore une fois ce qui
ressort de ces études et nos collègues de l'Université de Dauphine Serge per et
Lionel garot ont fait une excellente étude dans le cadre de l'observatoire de l'engagement je vous recommande vraiment de de la lire elle a été publiée en 2022
et qui nous rappelle encore une fois que H8 répondants sur 10 quel que soit leur
âge restent extrêmement attaché à leur équipe c'est très très important et la dimension valeur dans l'équipe reste
extrêmement prépondérante alors ce qui est intéressant c'est qu'on vous a mis les les résultats de l'an dernier mais
en fait le qui permet de gagner correctement sa vie l'bité à 47 % l'an dernier à 50 % cette année mais du fait
décrochage du reste en fait passe de la 5e place l'an dernier voyez juste sous le le carré à la 2è place cette année
donc il y a eu en fait quand on regarde la dynamique je vais essayer de vous la commenter rapidement il y a eu cet
aspect là je pense qu' est assez fort ensuite sur le les les trois autres premiers éléments ils étaient dans le
dans le trio de tête l'an dernier qui permet de s'épanuir professionnellement été second et qui permet d'équilibrer
vie professionnelle et vie personnelle pardon non est redescendu puis que c'était le 4e
dernier là voyez il est beaucoup plus bas il est à 42 % en revanche on n pas
de gros changement dans les
pourcentages les engagements prioritaires c'est toujours de la même
manière un sujet qu'on suit d'une année sur l'autre et au fond on a le respect
de l'éthique dans les activité économique qui était déjà la même chose l'an dernier donc ça ça n'a pas changé
82 % l'an dernier 69 % l'an dernier l'an dernier on avait que des étudiants skemma donc c'est 82 % l' dernier c'est
75 % donc là on a quand même perdu C point vous avez en numéro 2 l'égalité
femmes homm qui était à 74 % l'an dernier qui à 68 % cette année et qui
est surtout un sujet à nouveau où les femmes considèrent que c'est plus important à hauteur de 80 % on avait
présupposé l'an dernier que les hommes consid peut-être que le sujet était derrière eux qui sait en tout cas il s était montré beaucoup moins sensible et
puis le trisème sur la réduction de l'impact sur l'environnement alors là c'est Geist mais c'est la dégringol
c'est qu'on est à 71 % on passe à 55 là on perd 16 points on perd 16 points mais
a priori les étudiants français son quand même plus sensibles à cet aspect là quetud
internationaux on vous ais les résultat de l'an dernier
et sur la confiance en l'avenir qui reste très forte là aussi c'est les questions qu'on avait posé l'an dernier
je pense vous en souvenez quels sont les éléments de confiance ou d'inconfort par
rapport à la mien de des étudiantes et des
étudiants alors le top 5 des adjectifs voyez déterminer curieux enthousiaste
confiant anxieux on n pas sur évolution copernicienne non plus ce qui est intéressant sur la confiance c'est qu'il
y a une polarité forte entre femme et homme alors l'an dernier on m'avait
demandé si les hommes étaient plus confiants que les femmes j'avais répondu que les femmes étaient peut-être plus lucides et plus à l'écoute et plus
humble que les hommes quant aux conséquences possibles du point d'inflexion
économique qu'on connaît donc je pense que c'est c'est pas toujours une qualité que
d'être absolument confiant dans l'avenir euh lorsqu'il y a des vents contraires qui s'annoncent et des tempêtes qui
menacent à l'horizon il peut être aussi ça peut être une qualité de de les voir venir et des anticiper et puis on a
également une différence assez forte entre étudiants internationaux et étudiants français sur la
confiance amine je te vois plus bouger je sais pas si tu voulais commenter non non je te je
je commenterai à la fin merci beaucoup Patrick et sur la confiance des jeunes pour l'entrée dans le monde professionnel
ben on a en fait un niveau de confiance qui est quand même assez fort 75 % et on a un niveau d'inconfort qui qui
lui à 25 % et qui mémoire est en hausse par rapport à l'an dernier ce qui pas
normal Contu de des tendances macroéconomiques qu'on observe de la même manière on a les étudiants
internationaux qui sont plus confiants que les étudiants français on on a quand même un sujet potentiellement de de perception
française par rapport à l'ensemble un slide d'après sur les éléments qui
les mettent en confiance alors on a on a tout un verb àam détaillé en fait de leur part mais si on essaie de résumer
c'est vraiment c cette acquisition de connaissance et d'expérience sur le mode de fonctionnement du monde
professionnel la confiance dans ses capacités et le fait d'être passionné par le domaine on a sur ces aspects là
toutefois des éléments qui on ont pas mal évolué par rapport à l'an dernier et donc on voit quand même qu'il y a je
pense qu'il y a quelques points d'inflexion donc il y a tous les éléments qu'on qu'on entend au quotidien qui finissent par ressortir euh et si on
va un petit peu dans le détail qui qui pas pris ici mais on a dans la réflexion les problématiques qui sont relative au
marché du travail qui ont quand même beaucoup beaucoup progressé et en fait dans le trio de tête dans les les
raisons de pas se sentir confiant parce que là on a eu ce qui conduisait à se sentir confiant mais on raison de pas se
sentir confiant euh pardon je suis la slide d'après vous avez la peur de pas avoir les outils les compétences
nécessaires pour s'installer professionnellement vous avez l'incertitude par rapport à l'avenir la difficulté de se projeter et vous avez
et ça c'est important la concurrence et la saturation sur le marché de l'emploi et donc on était l'an dernier sur des
aspects o où il y avait moins de moins d'inquiétude par rapport aux aspects marché de l'emploi on était sur un marché de l'emploi qui était plutôt
booming là on voit qu'il y a il y a sans doute un point d'inflexion dans la perception en tout cas des des
futurs de vos futurs salariés absolument Patrick bah là si on
AG grège on est sur 45 % des éléments qui viennent
principalement de l'insertion sur le le marché de travail donc ça montre à quel
point c'est c'est important ils comprennent les jeunes talents ils comprennent la volatilité du du marché
et mais il s'inquiète malgré tout et notamment de la transition entre la fin de leur cursus académique et l'entrée
sur ce marché-là du du travail je pense que ça suscite beaucoup de d'inquiétude
beaucoup de nervosité ils cherchent à se rassurer ils ont peur aussi des regards des recruteurs sur eux les recruteurs
certaines études nous manquent qu'il perçoivent les jeunes comme euh peu
qualifié ou pas assez qualifié pour euh entrer sur le monde du travail alors que
les jeunes ils s'investissent énormément et il se voient pas au recruteur plutôt
qualifié pour aller sur le marché du travail et cette opposition là crée des situations sur le marché de travail un
peu un peu paradoxal entre des recruteurs qui ne font pas assez confiance et des jeunes qui pensent
qu'ils ont les compétences et qui se sentent un peu mal compris par rapport aux attentes de ces de ces mêmes
recruteurs ce qui marche bien c'est les actions qui sont faites par les recruteurs avant la fin de la scolarité
c'est pendant la scolarité des action de campus management où on vient on discute avec les étudiants on échange avec eux
on parle du quotidien on parle des métiers et cetera ça rassure sur son
insertion professionnelle et ça explique aussi come on emmène beaucoup en école de commerce et notamment à schema ça
explique aussi pourquoi sur la population schema les étudiants sont plutôt optimistes quand à leur rentrée
sur le marché du travail tout à fait peut-être au final j'espère qu'on va avoir quelques
questions et on sera r d'y répondre mais moi ce que je retiens de l'étude en conclusion la première c'est B l'agilité
digitale qui n'est pas une surprise qui peut-être et j'ai vu j'ai redescendu le chat que effectivement je vous rejoins
il faut avoir des compétences it et et qui résulte peut-être aussi d'un attrait pour la nouveauté ça je ne le sais pas
mais en tout cas il y a il y a plus d'espoir que d'appréhension au plan professionnel dans ces aspects intelligence artificielle
générative ça c'est le premier élément et le deuxième élément sur la capacité à retenir les talents l'ambiance de
travail fond ental et je crois que ça doit tous nous interpeller euh on a un
grand nombre à fait des écoles de management et et en tout cas chez on pe beaucoup de gens fait ce qu'on dit des écoles de management quand on leur
demande ce que c'est que le management en fait on est souvent face à forme de silence ils savent pas très bien et et
je crois que le management c'est justement la capacité à permettre à des talents de grandir de
progresser de combler leur lacunes de s'appuyer sur leurs forces tout en en gardant une bonne ambiance et c'est sans
doute un aspect sur lequel je pense quand on voit les taux
de départ en tout cas dans certaines organisations et Don dans celle à laquelle j'appartiens
qui doit nous interpeller sur notre capacité à vraiment permettre à l'ensemble de la chaîne manageriale
d'avoir les bonnes compétences pour préserver une ambiance de travail qui soit fédératrice qui soit porteuse
d'énergie de sens de valeur et de motivation